De la toile de jute récupérée (vestige d’une vieille bringue, la toile avait servie à cacher les murs de la pièce en cours de rénovation), des chutes de tissu (IKEA), un pochoir et voilà une série de petits paniers. Le grand frère va bientôt arriver.
Super patron de MAYA*MADE pour utiliser des chutes de tissu et de la vieille toile de jute qui traine un coin. Un résultat sympa et bluffant… (hein Juliette !!)
Des pochettes sympas, certaines sont doublées en tissu et d’autres en toile cirée. A emmener partout.
Acquisition du samedi à la brocante de Samatan, capitale du foie gras : un lustre en porcelaine pour la cuisine.
N’ayant pas réussi à trouver tous les éléments, nous l’avons un peu bidouillé et le résultat est, ma foi, correct. Il ne reste plus qu’à le suspendre.
Aujourd’hui, je me suis essayée au “quilting”, je voulais utiliser mes chutes de tissu. J’ai réussi à faire quelque chose (on va dire une trousse à maquillage…) mais ça été laborieux. Je crois que je n’ai ni la patience ni la minutie pour réussir ce genre d’ouvrage. Je vous présente quand même les différentes étapes de ce fastidieux labeur…
Je suis partie de petits carrés (trop petits certainement donc c’est plus difficile à travailler) ensuite j’ai fait des bandes que j’ai cousues entre elles. Pour finir, j’ai doublé le nouveau morceau de tissu et j’ai fait la trousse.
Finalement, quand je regarde les photos ça me plait mais heureusement que l’on ne voit pas les détails…
Aujourd’hui il fait beau, le soleil est revenu et le moral aussi. C’est le moment idéal pour planter des fleurs. N’étant pas une férue et une esthète en matière de jardinage, j’ai choisi la facilité et j’ai acheté des COSMOS à semer ainsi que des CAPUCINES. Succès garanti même quand on n’a pas la main verte. Voici les sachets de graines et bientôt le résultat en vrai !!!
Aujourd’hui est un jour triste, dehors il neige, il neige, tout est blanc. Pas le blanc de la pureté et de l’éclat mais le blanc de la mort. Encore une illusion qui s’en va, tout devait être paisible mais tout est encore plus triste. Tout devait être clair mais tout n’est encore que mensonges…
Michael Tolliver est vivant. Ses amis se sont perdus dans l’excès ou sont morts du SIDA. Lui a survécu à tout. Il a rencontré Ben, l’amour de sa vie. Sa famille se refuse toujours à accepter son homosexualité. Lorsque la mère de Michael tombe malade, c’est pourtant lui qu’elle appelle à ses côtés en Floride.
À San Francisco, sa mère spirituelle, Anna Madrigal, tombe dans le coma. Il est alors confronté à un dilemme : doit-il accompagner cette mère qui l’a tant rejeté dans ses derniers instants ou rester auprès d’Anna ?
Les six premiers volumes décrivaient le San Francisco mythique des années 70 et 80, terrain de toutes les expériences amoureuses et sexuelles.
Des histoires sensibles et attachantes. J’adore cette saga, on est plongé dans un univers salace mais envoutant. On a envie de rejoindre cette petite troupe dépravée sur les hauteurs de Barbary Lane.
